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cris murmurés

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8 janvier 2017

L'ai-je bien descendu ?

 

J'ai fermé la serrure du haut … dernier geste qui grâce à toi, m'est revenu à l'esprit, avant la chute (la cascade dis-tu ce qui t'a amenée à m'appeler Bebel !!!) …

Puis un grand vide s'est installé en moi, comme si je n'avais pas vécu les quelques heures qui ont suivi « ce malencontreux dérapage »,

Pourtant mon corps portait des traces plus qu'évidentes qui prouvaient ma chute, alors que je m'ingéniais à la nier. M. en a été la première « victime », d'autres ont suivi …

 

«Eh ! Suis pas mort !!! » me suis-je écrié en essayant de relever la tête, pour répondre aux AAAH, aux OOOH P..... ! poussés avec horreur par M. et toi ma douce amie en découvrant mon corps ensanglanté étalé au pied de l'escalier. Heureusement l'appartement que j'occupe est situé au … 1er étage ! Sinon qu'auraient été le simple traumatisme crânien, la fracture d'une arcade sourcilière et les contusions qui parsemaient mon visage et mon corps …

Tu me racontes que par mes soins le pompier, au demeurant sympa n'a pas été épargné par mes doux mots … j'ai répondu juste lorsqu'il m'a demandé nom prénom date de naissance , mais à la question:quel âge avez-vous ? Après quelques secondes j'ai répondu avec véhémence, me dis-tu, c'est facile vous n'avez qu'à calculer !!! Lorsque gentiment il m'a demandé le nom du président de la République, j'ai déclaré que j'avais besoin de réfléchir … (mais en fait aujourd'hui ayant retrouvé toute ma tête n'aurais-je pas la même réflexion?) ...

Etonné je t'ai demandé : « c'est quoi ça » tu m'as répondu « c'est rien, du sang, c'est en tombant dans l'escalier », c'est uniquement venant de toi que j'acceptais avoir chuté ??? Mon cerveau déconnecté pendant la chute, je n'ai ressenti aucune douleur, se serait-il « remis en route » pour faire entendre vers qui allait ma confiance ??? Oui sans aucun doute …

Le transport jusqu'à l'ambulance, le trajet jusqu'à l'hôpital, les premières heures dans le service des urgences se sont déroulés sans « moi », tu n'as pu me raconter tu n'étais pas à mes côtés …

Et ça repart, les yeux à peine ouverts « à la vie » la première phrase entendue est : « vous avez du faire une sacrée chute !» … Mais qu'ont-ils donc, pourquoi insiste t-on ainsi ? … Ce n'est que plusieurs jours plus tard que j'ai compris : les traces très marquées qu'avaient laissé la dégringolade sur mon visage ne permettaient aucun doute …

Tout s'agitait autour de moi alors que lentement je reprenais mes esprits … Que fais-je ici ? Que s'est-il passé ? … A partir de ce moment je m'efforçais de me souvenir où

j'habitais et aussi et surtout j'essayais de retrouver le visage de la femme de l'amie qui depuis un certain temps m'entourait d'une attention toute particulière, m'offrait une aide précieuse dans la vie de tous les jours et m'accompagnait dans mes délires en cherchant au cours de chacune de nos conversations à refaire le monde. Ton beau visage m'est revenu et mon soulagement a été total lorsque réellement des éclairs dans les yeux tu m'es apparue dans ce froid couloir …

 

A tous et aux autres aussi (?!?!?!) je souhaite de faire une rencontre aussi riche, présente et chaleureuse que la chance m'a donné un jour de croiser sur ma route, toi oui, toi ma douce Germaine …

Pour toi mon ANGE, lorsque tu liras ces lignes, reste sereine, les marques de ce passage sont effacées et ma mémoire est à nouveau intacte ...

 

A vous mes Amis qui me faîtes le plaisir de passer par là, sachez que je pense à vous, que mon silence est fortuit … lire vos commentaires me toucherait ...

 

 

Tchaikovski - Casse-noisette (Nutcracker) - Valse des fleurs

Hubert Felix Thiefaine : Animal en quarantaine

 

 

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28 janvier 2016

Petit enfant conteur

 

"Quand j'étais enfant,

Je voyais Dieu,

Je voyais des anges ;

Je regardais les mystères des mondes

d'en haut et d'en bas.

Je croyais que tous les hommes

voyaient la même chose.

J'ai fini par comprendre

qu'ils ne voyaient pas …"

 SHAMS DE TABRIZ

 

Dix mois environ viennent de s'écouler depuis sa naissance …

Nous venons lui et moi de jouer avec des cubes et après avoir déconstruit en un tour de main notre laborieuse réalisation, d'un autre geste il me fait comprendre que l'heure est au repos et à la réflexion ...

Mon petit-fils est désormais installé sur mes genoux je le sens calme serein et pensif

Je suis tranquille et attentif … son calme soudain me rend interrogatif ...

Une légère pression de sa petite main sur ma cuisse me fait pressentir que quelque chose va advenir

Avec douceur sans précipitation aucune il rompt le silence qui règne dans la pièce : des mots prononcés avec tendresse s'envolent ... s'élèvent, il soulève un bras pour accompagner ses mots emplis de légèreté, puis l'autre, petit à petit son discours s'anime se fait plus ferme ...

Le ton persuasif employé capte toute mon attention alors que seul l'accent mis à la prononciation me fait saisir l'importance de ce récit, sa "langue" évidemment m'est inconnue ...

Il se retourne vers moi, ses grands yeux éveillés lui mangent le visage, son regard interrogateur me fait comprendre qu'il veut s'assurer que je le suis bien

"Oui oui je t'écoute !", sciemment je suis le plus bref possible, tout d'abord pour ne point ralentir son élan mais aussi parce que le comportement d'un si petit enfant me subjugue ...

Tranquillisé il se retourne et reprend cette fois avec ferveur et passion son récit qui me fait vibrer de plus en plus fort et m'entraîne dans son monde inconnu ou oublié de moi ...

A plusieurs reprises il se retourne mais là c'est plutôt pour mettre plus fort l'accent sur certains détails,

Car maintenant il sait qu'il me captive et qu'avec lui je suis plongé dans son histoire …

 

(Nectarine, sa maman, vaque à quelques occupations dans une pièce contiguë … )

 

Son discours tout en s'accélérant prend de l'ampleur de l'assurance et pourtant ceci sans aucune élévation de voix

Il lève les bras « au ciel » (le plafond doit lui paraître si haut!)

Sa tête suit le mouvement et le regard fixé au « firmament »

P'tit homme apporte une note finale pleine de conviction à sa, sans aucun doute formidable histoire…..

Un mouvement lent ramène ses mains sur ses genoux

Une nouvelle fois il tourne la tête dans ma direction et d'une mimique tout entendue

Me fait saisir : "et voilà ! C'est fini !" …...............

Je retiens mon souffle l'émotion est forte,

 

Sa maman accourt en silence et me dit : " je ne l'ai jamais entendu parler comme cela !"  …

 

Depuis ce jour dix-huit mois se sont écoulés … déjà … et en mémoire m'est restée sans aucune once d'altération cette fabuleuse et mystérieuse histoire … Ne grandis pas trop vite mais comme me dit-on, c'est inéluctable, alors malgré tout garde cet esprit rêveur ...

 

 

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Jean Ferrat - Nul ne Guérit de son Enfance

 

28 janvier 2015

Cours de guitare ..... leçons de vie !

 

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 Il n'est plus,

Mais dans mon coeur toujours il sera …..

 

Mes doigts se posent sur les cordes …..

Le son d'une guitare résonne …..

Django …..

Toujours c'est toi que j'entends

Jamais tu ne me quitteras ….................. jamais ...

 

Dans une vie il est comme cela des gens qui prennent une importance certaine

Je devais avoir un peu plus de 20 ans lors de notre première rencontre

 Depuis un certain temps j'étais à la recherche d'un prof de guitare : jusque-là de ceux que j'avais rencontrés aucun ne me convenait

Sur les indications de ma disquaire préférée qui connaissait parfaitement mes goûts (j'étais un très bon client) enfin je trouvais le prof qui allait devenir mon Maître ( je pense que ce mot employé à son égard l'aurait fait bondir ! )

 Tout s'est passé simplement

Accueilli chaleureusement lors de notre première rencontre je me suis trouvé face à un homme au regard clair lumineux qui reflétait une intelligence une bonté d'âme évidentes

En quelques phrases nous avons fait connaissance

Ses mots simples mais précis m'ont marqué à jamais

 L'éloignement très fréquent par mes longs séjours dans des « contrées lointaines » n'a jamais terni notre amitié

Pourtant loin de lui je le sens là à mes côtés par la pensée il m'a toujours suivi

Sans qu'il le sache forcément il m'a toujours guidé, pour la musique c'est sûr, et ça il ne le sait peut-être pas mais pour son humanité, sa manière de vivre, sa façon d'appréhender la vie également

 Je ne l'ai jamais entendu hausser la voix, si, pour chanter, peut-être

 J'aimais la musique : il me l'a fait comprendre

J'aimais la guitare : il m'a appris à « l'apprivoiser »

C'est chez lui par lui pour la première fois je crois que j'ai ressenti cette relation si étroite qui existe entre les mots et la musique

 Amoureux de la vie, sensible, calme, patient, gai, il m'entraînait dans son sillage

 

Etant devenu très vite le dernier élève de la journée le cours qui devait durer une heure se prolongeait jusqu'à 2 voire 3 heures, sa générosité toujours m'a épaté, et lorsque certains soirs des anciens élèves lui rendaient visite j'avais le droit à de véritables concerts qui se terminaient très tard

 

Merci René, mon attachement à toi est « éternel » …........................

Django Reinhardt - Tears - Paris, 28 November 1947

Django Reinhardt - Nuages

31 août 2014

ELLE et la mer

Debussy: La Mer / Abbado · Berliner Philharmoniker

 

 

Elle marche ….. légère

Ses fins orteils semblent survoler le sable

Sable blanc qui étincelle

De mille minuscules feux

Sous la lune veillant

 

Je la suis elle semble voleter au-dessus du sol

 

La lune fait scintiller les vagues

Sous ses pâles « rayons » lumineux

Vagues qui vont et viennent

Au son d'une douce musique

Qui résonne comme une berceuse

Mêlée aux doux mots qu'elle fredonne en sautillant

 

Parfois une vague vient mourir sur mes pieds

Pour très vite rejoindre le large

 

En contre jour son magnifique corps

Dessine des arabesques dans le ciel étoilé

J'aime sa consciente insouciance et

Son bonheur peut-être passager qui moi m'emplissent

D'une immense quiétude

 

Quelque part au loin une sonnerie retentit ….. un téléphone ?????

Le mien me rappelant la fin de ma sieste …......

J'ouvre les yeux …. je suis heureux ….

==========

 

 

J'adore cette chanson ce qui explique sa présence ici

Léo Ferré - La mémoire et la mer

 

 

 

 

30 juillet 2014

Petite histoire simple mais vraie

Le soleil ne cessait d'apparaître pour très vite disparaître …

Sur la place maintenant vide abandonnée par les touristes

Qui ce matin affluaient

Et bruyamment se manifestaient autour des étalages du marché,

Elle marchait elle se déplaçait d'un pas lent, le regard fixé au sol

Elle tenait à la main gauche une cigarette allumée,

J'étais à la fenêtre je l'observais

Totalement absorbée par ses pensées, elle ne m'avait pas vu

Elle faisait les cent pas elle allait faisait demi-tour revenait

Et cela sans cesse, lorsqu'elle faisait demi-tour elle me donnait l'impression d'entamer un pas de danse

 

Quelques minutes plus tard, peut-être l'ai-je appelée

Ou a t-elle senti ma présence, elle a levé la tête vers moi

Les yeux encore emplis de ses réflexions

Je lui dis : «  je t'observe depuis quelques minutes,où es-tu ?

  • Ailleurs , me répond-elle !

  • Oui je vois mais où ?

  • Sur une île … on n'a pas d'été !

  • Je te rejoins, même si la chaleur m'importune !

  • Oui ! Viens !

Alors nous sommes allés …

Elle dans sa boutique,

Et moi devant mon clavier pour écrire ces quelques lignes

 

Tout en pensant à Porquerolles (hors saison estivale) et à toi …..

A mon tour je ressens un fort besoin d'évasion  : partir … partir …

 

 



 

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14 avril 2014

Partie de pêche

 

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Le jour vient de se lever le soleil déjà pointe à l'horizon, plus tard il deviendra brûlant pour rougir la peau encore pâle des gens venant de leur contrée au ciel rarement bleu.

Qu'il est agréable de circuler à pieds dans les rues du village, encore désertes à cette heure-ci, les touristes dormant du plus profond sommeil ne verront le " jour " que bien plus tard.

Une légère brise nous caresse le visage, mon frère et moi équipés du matériel nécessaire nous nous rendons à la rivière toute proche pour une partie de pêche.

Mon frère avançant comme toujours de son pas décidé et volontaire, me dit en souriant : " je sens que la pêche va être bonne aujourd'hui " ….. Non loin j'entends le bruit des vagues : la mer avec ses plages attend les vacanciers …..

 

Nous arrivons au bord de la rivière l'eau est calme les hautes herbes, d'un vert magnifique, la bordant, frissonnent avec légèreté sous le tendre souffle de la brise........

J'aime ce calme qui m'apaise, mon frère le sait, et nous n'échangeons que les mots vraiment " nécessaires ".

Mon frère a raison, très vite les poissons ….. ont faim …... et les bourriches … les avalent.

Brusquement le bouchon de ma ligne s'enfonce le moulinet s'affole la canne se plie dangereusement, des remous viennent rompre le silence qui m'est si cher. Ce sont presque des vagues que le poisson qui a mordu à l'hameçon, soulève au milieu de la rivière …. à quelques mètres de là mon frère, alerté par ce raffut comprend vite la situation dans laquelle je me retrouve, me dit en accourant : " approche le lentement de la rive, à l'aide de l'épuisette je vais soulager ta ligne, il a l'air énorme il va tout casser et puis faut pas le rater celui-là" …...  Patiemment et avec précaution je réussis à calmement rapprocher mon " énorme " proie de la berge … mon frère me dit, confiant, " encore un peu " et l'épuisette tenue à bout de bras tendu à l'avant croit s'allonger parmi les hautes herbes vertes mais s'étale de tout son long dans cette eau tout de même pas très chaude au petit matin, et là j'entends un " PLOUFFFF !!! " incroyable qui résonne encore dans ma tête, ces herbes si verdoyantes poussent dans l'eau et le bord est malheureusement plus loin … que faire continuer à m'occuper du poisson ou tenter d'aider mon frère mais conscient de mes piètres qualités de nageur alors que mon frère lui est doué pour cette discipline et que toute intervention de ma part risquait simplement de compliquer les choses, mon hésitation et, je l'avoue aujourd'hui le fou-rire que j'ai réussi à contenir en moi avec difficulté, pour ne pas vexer mon frère, ont profité au poisson qui, affolé par tout ce remue-ménage inhabituel et forces retrouvées, est parvenu à prendre le large …...

Le calme a été définitivement brisé, et moi qui déjà espérais paraître en photo dans le journal local ….. Nous sommes rentrés, mon frère penaud et dans une démarche inhabituelle chez lui, il n'est pas pratique de se mouvoir dans un pantalon dégoulinant, trempé jusqu'aux os et moi rêvant de pêche miraculeuse …...

…... Dans le lointain seul le cri des mouettes qui accompagnent les bateaux de pêche rentrant au port remplis de poissons, perce le silence, nous n'avons pas échangé un seul mot mon frère et moi, lui pensant à une bonne douche chaude et moi à continuer de retenir … mon fou-rire.

                                             ======================

Une autre partie de pêche ........


"NI VU, NI CONNU" LOUIS DE FUNES par richardanthony

 

 

 

 

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26 février 2014

Il vient de nous quitter

Seules mes larmes en guise de commentaires

 

16 janvier 2014

Cela pourrait ...

Etre à quelque part une suite à mon message précédent ...... 

 

15 janvier 2014

ICARE ...

 

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Je n'ai cessé de rêver dans ma vie et je sais que je rêverai encore et toujours

 

Enfant , à l'école primaire, j'ai découvert " l'existence" d'Icare grâce à un poème de Philippe Desportes. A la première lecture de ce poème je crois me souvenir avoir ressenti quelque chose de vague d'étrange me parcourir et le corps et l'esprit, sans trop comprendre le contenu de ce texte. Les explications de texte données par "l'instit" ont renforcé mon émoi et c'est à partir de ce jour je crois que mon côté "rêveur" s'est exacerbé.

J'ai été un enfant toujours un peu solitaire un peu "à part", j'ai eu malgré tout des amis, solitaire mais pas sauvage. Mes moments de solitude me permettaient, me laissaient le temps pour rêver. J'ai eu et j'ai toujours besoin de ces moments-là. C'est vital ….

 

Très peu de temps après, Jean Mermoz, dans mes rêves a pris place aux côtés d'Icare. Il était devenu mon idole : ses ailes n'étaient pas de cire mais il volait, je me suis plongé dans tout ce qui le touchait de près, et puis au cours de mes lectures j'ai appris que comme Icare, il avait disparu en mer : coïncidence qui m'avait troublé et qui me fait me demander aujourd'hui : " ne serait-ce pas cela qui à ce jour me rend incapable de faire deux brasses dans cette eau qui a englouti à jamais mes deux héros ? "

 

Aujourd'hui encore, comme un enfant, dont j'ai conservé le coeur, il m'arrive quelques fois de prendre mes rêves pour des réalités ce qui peut me causer quelque déboire …. mais néanmoins ne modifiera rien à mon attitude passée et présente …....

 

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27 décembre 2013

Petit-fils

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Petit homme tu es là parmi nous avec nous

Je t'ai vu ouvrir les yeux sans aucun doute pour mieux « entendre » Maman te murmurer maintenant que tu es "à l'air libre", les premiers mots d'Amour, les premiers mots doux que dorénavant tu vas entendre chaque jour ….

Papa est ému et ta grande soeur , étonnée, ne l'est pas moins

Ton grand-père ….. euh !!!!!

 

                                             **************

 

Le jour de Noël

 

J'ai ressenti aujourd'hui que le doux regard échangé entre la maman et le petit-homme pouvait être interchangeable

J'ai vu le même amour emplir leurs yeux mon émotion a été grande et une nouvelle fois des larmes me venaient

Les guirlandes scintillantes ne cessaient d'attirer le regard de l'enfant mais le sein de la maman lui seul était capable de lui faire oublier : "il boit" sa mère il "l'avale"

Et pendant tout ce temps la grande soeur habillée en princesse sautillait tournait virevoltait tel un flocon de neige sous un vent léger …. , un moment de calme elle se dirigeait vers son petit frère pour lui faire une caresse lui susurrer un mot gentil, et puis la princesse pour un temps, toujours dans son habit étincelant, se transformait en ….... caissière de supermarché !!!

La magie de Noël était là bien présente

 

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