Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
cris murmurés
Archives
Derniers commentaires
15 janvier 2014

ICARE ...

 

num_risation0003_002

 

 

Je n'ai cessé de rêver dans ma vie et je sais que je rêverai encore et toujours

 

Enfant , à l'école primaire, j'ai découvert " l'existence" d'Icare grâce à un poème de Philippe Desportes. A la première lecture de ce poème je crois me souvenir avoir ressenti quelque chose de vague d'étrange me parcourir et le corps et l'esprit, sans trop comprendre le contenu de ce texte. Les explications de texte données par "l'instit" ont renforcé mon émoi et c'est à partir de ce jour je crois que mon côté "rêveur" s'est exacerbé.

J'ai été un enfant toujours un peu solitaire un peu "à part", j'ai eu malgré tout des amis, solitaire mais pas sauvage. Mes moments de solitude me permettaient, me laissaient le temps pour rêver. J'ai eu et j'ai toujours besoin de ces moments-là. C'est vital ….

 

Très peu de temps après, Jean Mermoz, dans mes rêves a pris place aux côtés d'Icare. Il était devenu mon idole : ses ailes n'étaient pas de cire mais il volait, je me suis plongé dans tout ce qui le touchait de près, et puis au cours de mes lectures j'ai appris que comme Icare, il avait disparu en mer : coïncidence qui m'avait troublé et qui me fait me demander aujourd'hui : " ne serait-ce pas cela qui à ce jour me rend incapable de faire deux brasses dans cette eau qui a englouti à jamais mes deux héros ? "

 

Aujourd'hui encore, comme un enfant, dont j'ai conservé le coeur, il m'arrive quelques fois de prendre mes rêves pour des réalités ce qui peut me causer quelque déboire …. mais néanmoins ne modifiera rien à mon attitude passée et présente …....

 

IMG_0521

IMG_3338_002

 

 

Publicité
Commentaires
L
La tête dans les nuages.... chaque jour, je reprends mes vols.... vers le monde du silence.... où tous les rêves sont permis... Dans les airs je m'amuse, je m'éclate... Mes pensées s'envolent, virevoltent, divaguent... dans une douceur aérienne... Point de plumes, ni de cire... mes ailes ne risquent pas de fondre... Et lorsque mon cœur plonge... ce n'est pas dans la mer... mais dans une douce rêverie... parce que comme toi... je ne cesse et ne cesserai de rêver... Doux Baisers
E
Ps Pardon pour la grozzz faute ( dont je m'aperçois trop tard :-) Je rectifie<br /> <br /> <br /> <br /> " ne plus sentir cette pesanteur terrestre qui, certains jours, chausse nos pieds de plomb."
E
L'un des rêves les plus prégnants est certainement celui par lequel nous volons comme un oiseau, tout étonnés encore de ne plus sentir cette pesanteur terrestre qui, certains jours, chaussent nos pieds de plomb..<br /> <br /> Un peu plus haut, un peu plus loin : le songe "angélique" d'une autre dimension qui tutoierait les étoiles... Par bonheur, cette dimension là, nous la portons en nous et c'est un bienfait que celui de conserver intacts ces filaments d'enfance qui dilatent l’âme et le cœur et nous font voyager vers la beauté infinie mais aussi peut être d'autres "vérités" dont nous sommes pétris mais que nous ignorons ou que nous avons oubliées dans cette société qui ne sait plus compter que le temps et l'argent !<br /> <br /> <br /> <br /> Parfois, certes, l'atterrissage peut s'avérer un peu rude mais il nous reste la rémanence d'un voyage merveilleux et la capacité magique de pouvoir le renouveler encore et encore...<br /> <br /> Alors, tant pis si , à l’image d 'Icare, nous nous brûlons parfois les ailes , l'essentiel reste dans l'envol ...<br /> <br /> <br /> <br /> « Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil. »<br /> <br /> William Shakespeare <br /> <br /> <br /> <br /> Baisers -nuages<br /> <br /> <br /> <br /> Élise
H
Tu as su garder ton cœur d'enfant, ton âme rêveuse.<br /> <br /> Rares sont ceux qui ont accepté de les préserver, et qui aujourd'hui courent après...<br /> <br /> <br /> <br /> P. Delerm...dit du rêve :<br /> <br /> <br /> <br /> "Bulles de temps, gouttes légères. A peine un souffle, et l'eau se gonfle de secret, se détache, s'envole. A peine un souffle, et la mélancolie part en voyage. Un peu plus haut, les frontières s'effacent, un peu plus loin. Les peines s'apprivoisent dans l'espace. La terre devient bulle, et la bulle une terre.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais il y a des jours où l'on cueille le jour au moment flottant des possibles, au moment fragile d'une hésitation honnête, sans orienter à l'avance le fléau de la balance. Il y a des jours où l'on pourrait presque."<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ne change rien surtout....<br /> <br /> <br /> <br /> Tendres baisers<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> PS : j'aime cette rose...
cris murmurés
Publicité
Publicité